« Petits meurtres entre amis ! »
La mauvaise foi associée à une sorte de symptomatologie paranoïaque me fait sourire... (peut-être parce que j'essaie d'être optimiste ou plutôt pour ne pas pleurer). Elle me fait donc sourire quand elle n'est pas développée par des personnes qui font partie du champ du soin et plus particulièrement de celui du langage, de la communication et donc de la parole.
On a toujours quelques personnes (les mêmes qui, il me semble sont d'une susceptibilité inquiétante et d'une objectivité inaccessible) qui attaquent systématiquement quand on propose un discours autre que celui qu'ils pensent être La vérité à défaut d'être Une vérité.
Donc certains d'une honnêteté intellectuelle imparable se mettent à délirer maintenant bon c'est pas vraiment nouveau pour tenter d'attaquer quasi systématiquement les propos que je peux être amener à tenir, en se chargeant bien d'essayer de les travestir...
Alors d'après l'un de ces gugusses, je participerais à tous les fils de discussions. Comme je ne lis pas la plupart ! D'une part parce que j'ai autre chose à faire et que d'autre part je n'ouvre que les sujets dont le titre semble pouvoir m'intéresser ou s'il s'agit d'un message de quelqu'un que j'apprécie et dont je suppose que son message pourrait m'intéresser. (Il y a surement d'autres messages intéressants et des auteurs intéressants, mais heureusement malgré ma soi disant toute puissance je ne connais pas tout le monde). Mais comme je ne les lis pas... peut être que quelqu'un utilise ma signature et répond pour moi ?
Travailler autrement, penser le soin et revendiquer cette nécessité, voir le patient comme un interlocuteur, un Autre, un Sujet (avec S majuscule n'en déplaise à quelques persécutés), cela semble dangereux pour ces gens qui tentent de se réfugier derrière des pseudos références scientifiques.
Les avancées de la psychologie cognitive est certes intéressantes, passionnantes mais quand on s'intéresse à la clinique et d'ailleurs je m'y réfère dans ma pratique et dans mes réflexions. Nous constatons que les bilans neuropsychologiques nous apportent des données et surtout des chiffres, imposent des étiquettes, permettent de mettre des patients en souffrance dans des cases « handicapé » mais que la prise en charge (proposée au mieux) reste vide et celles que parfois ils tentent d'imposer aux professionnels de leur hauteur scientiste est au mieux source de stagnation sauf peut-être dans les cas où le patient ne souffre que d'un retard d'apprentissage sans réelle pathologie DYS dont on l'a si allégrement affublée.
Pauvres petits excellents orthophonistes persécutés par la méchante toute puissante, qui n'est pas respectueuse... et certainement une bonne centaine d'autres qualificatifs... Continuez tant que vous me critiquerez systématiquement vous éviterez de vous remettre en cause et d'ouvrir vos modes de fonctionnement caricaturaux !
La méchante vous salue bien bas !
PS : Ah oui, ce qui m'a bien fait rire, c'est celui qui sort de ces gonds pour critiquer mon message et confirmer intégralement ce que j'ai écrit sauf que ce grand scientifique (certainement) a oublié une partie importante de la formation des logopèdes belges celles en 3 ans qui est suivie par la plupart des français se réfugiant en Belgique pour leurs études.
Quand je critique, je me base sur des éléments vérifiés aurais-je un fonctionnement scientifique ? Mon Dieu dois-je me faire Seppuku ?
PS2 : Je pense que les gentils modo (allez je me laisse gagner par l'obséquiosité du groupe (Ferais-je un effort d'intégration ?)) vont être obligés de me virer... puisque je fais partie des quelques uns qui empêchent de se regarder le nombril en tournant en rond !